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"Elles vivent l’enfer Snapchat" : des adolescentes de Strasbourg prises au piège

Une cinquantaine d’adolescentes de la région de Strasbourg sont victimes d’une violente campagne d’affichage sur Snapchat

L'article diffusé sur le site internet des Dernières Nouvelles d'Alsace a de quoi faire palir les ados, et leurs parents... Une cinquantaine de jeunes filles ont été victimes, début janvier, de personnes (très) malintentionnées sur la toile. Des photos d'elles dénudées, accompagnées de leurs données personnelles (âge, prénom, nom de famille, adresse, numéro de téléphone...) ont été partagées en masse sur Snapchat, l'un des réseaux sociaux préférés des ados.

"D’autres filles sont présentées comme participant à des vidéos pornographiques, alors qu’elles n’ont rien à voir avec ces scènes" précisent les DNA. "Au cours du week-end, une vingtaine de jeunes filles se retrouvent comme Kenza exposées à leur insu sur Snapchat par des internautes qui appellent les utilisateurs du réseau social à contribuer à leur entreprise de démolition. « Envoyez, envoyez, ça va afficher sale », poste l’un des comptes concernés" expliquent les journalistes. Les jeunes filles se retrouvent évidemment dans une détresse psychologique immense. Certaines pensent même à se mutiler.

"Je ne me posais pas de questions à ce moment-là"

Cette phrase prononcée par l'une des victimes strasbourgeoises peut sembler anodine mais elle est révélatrice du manque de recul de certains jeunes au moment où ils décident de publier telle ou telle photo d'eux. Plus tard, avec la maturité viennent les regrets.

Pour éviter les drames, on vous le répète, parlez-en à vos enfants, neveux, petits cousins... Et à vos amis aussi, ça peut toujours servir ;-)

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À lire aussi : 

On profite de ce post pour vous proposer à la lecture un second article : Instagram et Snapchat seraient les pires réseaux sociaux pour le bien-être des jeunes. Chez Tinternet & cie, on aime pas être alarmistes mais l’étude menée par la Royal Society for Public Health (RSPH), une association caritative britannique dédiée à la santé publique, peut vous intéresser. 

"D'après les retours des utilisateurs de réseaux sociaux entre 14 et 24 ans, Instagram et Snapchat sont les pires applis en matière de bien-être et de santé mentale. En cause : le culte de l'image (souvent retouchée) et l'impression de ne pas bénéficier d'une vie aussi animée que celle d'autrui" explique Numerama.com.

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